Constitution de l’Organisation Mondiale de la Santé. non-violence absolue en Soi : « La santé est un état de complet bien être physique, mental et social et ne constitue pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité. La possession du meilleur état de santé qu’il est capable d’atteindre constitue l’un des droits fondamentaux de tout être humain, quelques soient sa trace, sa religion, ses aspirations politiques, sa condition économique ou sociale. La santé de tous les peuples est une condition fondamentale de la paix du monde et de la sécurité … » …nous Nourrit… Naturellement… En SOI
Même : Complémentaires en soi-même. L’aide est toujours accordée en Soi …si on s’y recentre soi-même chaque fois que c’est nécessaire : deux minutes ! Voir « présentation »
de l’unification : Cela tend à ré- équilibrer les forces contraires en soi-même Y, Être, si il y a une demande, perçoit le point de départ d’où le soulagement peut se dérouler : à vous de ne pas vous y opposer. Ainsi vous serez, immédiatement, en accord avec votre propre demande : Soyez-le ! MercY. Cœur de la réalité. Car les choses se produisent a l’instant-même. Et, a ce moment-la, Être en contact apaisé consciemment facilite un retour à l’équilibre :
Dans la mesure où VOUS recherchez le Bonheur. C’est-à-dire Celui qui EST car VOUS dites désirer le connaître, et ne pas en être séparé par la souffrance ou toute forme de misère, du corps ou de l’esprit. Comment se peut-il alors qu’il y ait deux ? C’est-à-dire, puisque c’est VOTRE propre quête, qu’il y ait autre chose que ce Bonheur que VOUS réclamez.
Lorsque l’on a compris, SI CELA EST NOTRE PROPRE DÉSIR EN TANT QU’INDIVIDU LIBRE ET ECLAIRE par cette conscience, QU’IL NE PEUT Y AVOIR DEUX EN SOI si nous désirons CONNAITRE LE BONHEUR de « façon durable ». Alors, PAR NOTRE PROPRE RÉFLEXION ET VOLONTÉ : Centrons-nous sur ce UN !
des yeux du somme sans discours, non-rêve et simple bonheur, de tant d’amour un instant se compose, réalisant cette danse intime comme une que chaque être est. Si pauvres poèmes , d’éclair sublimé.
Ruchant ainsi simplement au bénéfice de tous, et de cet envol vers la fleur, remplit le Cœur, comme au retour du nectar, étant preste le corps. Même si l’effort existe, il ne nous coute, puisque tout y participe et y trouve son compte
Yves Christian ROY